dimanche 17 juillet 2016

Famille parfaite

Les Denbe semblaient sortir des pages des magazines glamour : un mariage modèle, une belle situation, une ravissante fille de quinze ans, une demeure somptueuse dans la banlieue chic de Boston...une vie de rêve. Jusqu'au jour où ils disparaissent tous les trois. Pas d'effraction, pas de témoin, pas de motifs, pas de demande de rançon. Juste quelques traces de pas et des débris de cartouches de taser sur le sol de leur maison. Pour la détective privée Tessa Leoni, l'enlèvement ne fait aucun doute. Mais que pouvait donc bien cacher une existence en apparence aussi lisse? 


Effectivement, ça aurait pu être une famille parfaite...
Libby Denbe, mère de famille exemplaire, maîtresse de maison douée, femme encore très séduisante malgré son âge et toujours amoureuse de son mari.
Ashlyn Denbe, adolescente sans problèmes.
Justin Denbe, père et mari dévoué malgré ses absences, chef d'entreprise aimé de ses ouvriers...

Personne n'est dupe, qui peut affirmer être parfait? En réalité, Libby s'est engagée dans une lente descente aux enfers, Ashlyn a des problèmes dont elle ne parle pas à ses parents et Justin... 

L'intrigue est plutôt bien trouvée et on suit avec intérêt cette enquête. Enquête menée par des policiers et des agents du FBI ainsi qu'une détective privée engagée par l'entreprise. J'avoue que le personnage de Tessa Leoni m'a un peu dérangée :  je veux dire par là "mais qu'est -ce - qu'elle fichait ici" , un peu la pensée du FBI en fait. Elle semblait toujours en trop. S'il n' y avait pas eu autant de personnages policiers autour, ça m'aurait moins dérangé (mais c'est mon avis). 

En tant que lecteurs, nous savons où sont retenus prisonniers les Denbe : on assiste à leurs conditions de détention, on en sait un peu plus sur ceux qui les ont enlevés mais le mobile reste difficile à trouver. 
On se prend d'affection pour cette famille qui semble finalement se déchirer tout en essayant de préserver encore un peu de leurs liens. Dans cette prison, ils réapprennent à se connaître et les révélations se succèdent. 

Pendant ce temps, les enquêteurs creusent sur cette famille "parfaite" : et ce qu'ils trouvent n'a finalement rien d'étonnant. Oh! On aurait tellement aimé que ce soit différent pour une fois! Et pourquoi ça n'aurait pas pu être une vraie famille parfaite? 
En revanche, les "méchants", je les ai adoré! Non pas que j'aime la méchanceté et que j'approuve leurs gestes mais ils avaient, en tous cas, pour deux d'entre eux, une humanité appréciable, un peu à l'image de gros ours au coeur sensible. 

Malgré tout, j'ai passé un agréable moment de lecture même si le dénouement ne m'a finalement pas surprise et même un peu déçue (je ne peux pas dire pourquoi sans spoiler). D'ailleurs, une allusion est faite quant au coupable pendant l'enquête, sans doute était - ce de trop. 
Je crois que je deviens très exigeante au niveau des romans policiers et que j'ai du mal à être surprise maintenant. 

Ma note : 3/5

Ce roman participe au challenge thriller et polar




jeudi 23 juin 2016

Au bonheur des Dames

Catégorie 30 du Défi Lecture 2016 : Un classique connu



Denise quitte sa Normandie natale pour Paris avec ses deux jeunes frères. Leurs parents étant décédés, elle décide d'aller chez son oncle Baudu, drapier, mais celui- ci, au lieu d'être joyeux, est plutôt surpris de les voir débarquer. Il leur offre néanmoins l'hospitalité pour le moment mais Denise doit trouver un travail. 
Elle voue une admiration sans précédent pour le grand magasin situé en face de chez son oncle, le "Bonheur des Dames". Les couleurs, les lumières, les tissus, ce magasin illumine la rue grisâtre parisienne. Malgré sa timidité, elle va s'y présenter comme vendeuse alors qu'il est le concurrent direct de la boutique de son oncle. 

Cela se passe mal pour Denise au magasin, les filles de la confection la voient d'un mauvais oeil, elles se moquent. Denise a du mal à joindre les deux bouts, son frère lui réclamant de l'argent sans cesse alors qu'il faut payer en plus la pension du plus jeune. Elle finit par être licenciée sur un malentendu et se retrouve dans une petite chambre humide chez un commerçant du coin. Elle trouve un nouveau travail chez un ancien du "Bonheur" mais pas pour longtemps, il commence à faire faillite comme toutes les autres petites boutiques. 
De son côté, le "Bonheur" ne cesse de s'agrandir, multipliant les rayons, faisant usage de la publicité, les clientes se bousculent. 
Les Baudu se meurent dans leur boutique...

J'ai dévoré ce roman de Zola, je ne m'y attendais pas. J'ai été embarquée dans la foule du "Bonheur des Dames" comme autant de clientes avec leur frénésie d'achats. Je me suis perdue dans les rayons tout comme dans les noms des tissus et des étoffes, mon vocabulaire de couturière étant assez limité. Le début des grands magasins, qui m'a fait pensé aux Galeries Lafayette à cause de son ampleur, qui fait tellement de tort aux petites boutiques alentour, ces jolies boutiques qui ferment peu à peu face à ce géant du commerce. Un grand magasin qui fait rêver, joliment décoré, éblouissant de couleurs et de lumière. Face à lui, les petites boutiques semblent ternes, sombres et vides. Les clientes les désertent tandis qu'elles se bousculent au "Bonheur", un peu comme aujourd'hui pendant les soldes.

Parmi cette foule, il y a Denise. Elle aussi semble terne au début, éteinte. Sa vie est triste et sans éclat. Peu à peu, elle va gagner sa place dans le monde et entrer enfin dans la lumière.

Le Bonheur des Dames, c'est le déclin des petites boutiques, c'est jouer avec les femmes, avec leur vanité. Le directeur, Mr Mouret, a bien su comment les appâter et comment les fidéliser, comment leur donner envie de choses dont elles n'ont pas besoin. Il a su créer leurs besoins. Les femmes sont donc ainsi faites? Aussi naïves? Aussi influençables?
C'est en fait la présente société de consommation : se créer des besoins. Acheter ce qu'a son voisin car ça a l'air vraiment indispensable, en pensant faire des bonnes affaires...

J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman, ce qui m'encourage à me plonger dans un autre roman de Zola une prochaine fois.

Ma note : 4,5/5, presque un coup de coeur. 

Lu dans le cadre du challenge 1 pavé par mois (504 pages)



Et du Challenge Les 100 livres à avoir lu



mardi 14 juin 2016

Dossier 64

Copenhague. Une brutale agression dans les quartiers chauds de Vesterbro incite Rose à rouvrir un cold case sur la disparition inexpliquée d'une prostituée. Cédant à ses pressions, le Département V exhume une macabre affaire datant des années 50, dont les ravages révèlent le visage d'une société danoise loin d'être exemplaire.



Comme à son habitude, Rose a su susciter l'intérêt de son supérieur, Carl Morck, grâce à ses talents d'enquêtrice. L'affaire qu'elle ressort des archives est loin d'être simple, même pas un début d'indices pour orienter l'enquête. Mais ce n'est pas cela qui va faire reculer le trio de choc.
Plusieurs disparitions inquiétantes ont été signalées à la même période mais en apparence, rien ne les relie. 
En 1987, le passé de Nete Hermansen ressurgit et marque la fin de son beau mariage et de sa nouvelle vie. Curt Wad est revenu la hanter.

La particularité de Jussi Adler Olsen, c'est qu'on a d'un côté l'enquête du Département V et d'un autre, le déroulement des actes du coupable. Le tout, bien sûr, impeccablement imbriqué de sorte que la vérité se dévoile peu à peu. 

Des personnages toujours très forts : Curt Wad est un vrai cinglé avec des opinions et des actes extrêmes. Imaginez - vous un Etat qui autoriserait l'avortement et la stérilisation forcés de femmes vivant dans la pauvreté, de femmes étrangères, de femmes "malchanceuses". C'est que Curt Wad espère instaurer au Danemark par l'intermédiaire de son nouveau parti et avec le soutien de ses nombreux membres. 
Je retrouve également des similitudes dans la construction des personnages, similitudes avec ses autres romans : des personnages souvent ambivalents ; moitié coupables, moitié victimes ; des personnages torturés dont les actes répréhensibles sont néanmoins compréhensibles (sans pour autant être pardonnables...). 

Un trio de policier toujours autant atypique et que l'on aime bien. Rose et son côté décalé et un peu fofolle ; Assad avec ses expressions incompréhensibles et ses mystères ; et Carl, vieil ours au coeur tendre... 
Se poursuit aussi dans ce quatrième volume, l'enquête sur le meurtre de son coéquipier plusieurs années auparavant et vient s'ajouter une mystérieuse affaire de famille. 

Encore un bon moment passé au Danemark avec Morck ! 

Ma note : 4/5

Lu dans le cadre du challenge Thriller et Polar




 Et du challenge 1 pavé par mois (604 pages)


vendredi 10 juin 2016

Ennemie intime

A Münster où elle vient d'emménager avec son mari et Leo, leur petit garçon de trois ans, Katrin se sent un peu seule. Jusqu'au jour où, à la sortie de l'école, elle sympathise avec Tanja, la maman de Ben, le meilleur copain de son fils. Aussi, quand son père décède brutalement, Katrin n'hésite pas à lui confier Leo le temps des funérailles. Mais à la fin de l'après - midi, quand elle vient chercher son enfant, c'est la stupeur : l'inconnue qui lui ouvre la porte n'a jamais vu Leo. Tanja n'était que la baby - sitter de Ben, elle a démissionné. Et de Leo, nulle trace ...


Katrin vient d'emménager à Münster, ville de son enfance. Elle a un nouveau travail, des cartons plein la maison, un fils de 3 ans à s'occuper et un mari qui passe beaucoup de temps au travail. Le rythme de ses journées est effréné et elle a peu de temps pour elle. Alors quand elle rencontre Tanja au jardin d'enfants, elle est heureuse de pouvoir enfin parler à quelqu'un. Tanja est gaie, souriante, compréhensive et à l'écoute. Katrin lui fait d'emblée confiance. C'est pourquoi, le jour où Katrin a besoin de faire garder Leo, son fils, elle n'hésite pas à faire appel à elle. Sauf qu'au moment de le récupérer, Tanja et Léo ont disparu ...

Le début de ce roman est un peu lent mais ça ne dure pas. Dès que Katrin s'aperçoit de la disparition de Leo, tout va d'un coup beaucoup plus vite et on ne s'arrête plus. L'enquête est menée par Charlotte et son collègue : appels à témoin, interrogatoires de la famille et de la "vraie' mère de Ben ... Et pendant ce temps, Katrin rumine. Tout le monde sait que c'est Tanja qui a enlevé Leo mais pourquoi? Une femme en mal d'enfant? Non...plus l'enquête avance et plus il est question d'une vengeance mais contre qui? Thomas, le mari de Katrin? Katrin elle - même? Le père de Katrin? Au fil des pages, les langues se délient, les secrets de famille se déterrent, les mensonges sont découverts, les trahisons aussi...

Ni la couverture de ce roman ni le titre ne m'avait vraiment attirée. Ok, alors pourquoi l'avoir lu alors? En fait, c'est un livre que l'on m'a prêté et j'avais envie d'un roman policier, d'une lecture que je savais être facile. Même si le début ne m'a pas emballée, je n'arrête jamais pour autant une lecture. Et j'ai bien fait car lorsque le rythme s'est accéléré soudain, je n'avais plus envie de le lâcher jusqu'à la dernière page. Ce n'est pas non plus le roman de l'année hein, mais en tous cas, il m'a bien fait plaisir. J'ai pourtant du mal à lire ceux qui traitent d'enfants, qui plus est d'enlèvements d'enfants mais peut - être avais - je un bon pressentiment, je ne sais pas.

Comme dans beaucoup de romans à supense, on a à faire à plusieurs éléments disparates qui s'imbriquent au fur et à mesure. Les personnages qui semblent banals, se révèlent et avec eux, leurs secrets. Parmi eux, Katrin semble d'ailleurs parfaite et parfaitement victime (la pauvre!).

Comme je l'ai dit, ce n'est pas le roman de l'année mais il permet de s'évader pour un moment et c'est déjà pas si mal!

Lu dans le cadre du challenge Thriller et Polar




mardi 31 mai 2016

La pièce

Catégorie 31 du Défi Lecture : Un livre d'un auteur des pays nordiques

La première neige est tombée sur Stockholm et Björn vient d'être muté à l'Administration. Mégalomane sur les bords, Björn a une opinion démesurée de son rôle. Arrogant et psychorigide, il est loin de faire l'unanimité parmi ses collègues. Mais Björn n'est pas là pour fraterniser ou bavarder inutilement, il est là pour travailler et montrer le bon exemple à ceux qui n'ont peut - être pas, comme lui, la bureaucratie dans le sang.
Un jour, il découvre une porte entre l'ascenseur et les toilettes. Elle ouvre sur un bureau inoccupé où règne un ordre parfait. Cette pièce lui procure une sensation singulière de calme et de bien - être , et il commence à s'y réfugier aussi souvent qu'il le peut pour se ressourcer. Mais un malaise grandissant se répand au sein du service. Pourquoi le nouveau venu reste - t - il toujours planté en plein milieu du couloir à fixer le mur? 


Björn commence un nouvel emploi : il travaille dans l'Administration. Persuadé de faire de grandes choses et d'être extrêmement doué, il voue corps et âme à son travail. Ses collègues, manifestement, sont bien inférieurs à lui. De toute manière, il n'est pas là pour se faire des amis. Un jour, il découvre une pièce à côté des toilettes. Une pièce a priori banale mais dans laquelle il va pouvoir accomplir un travail encore meilleur! 

De leur côté, les collègues de Björn le voient comme quelqu'un d'assez spécial. Cette tendance va fortement s'accentuer quand tout d'un coup, ils voient Björn se poster face au mur pendant plusieurs minutes sans rien faire. Informant leur hiérarchie de ce comportement étrange, ils se détournent vite de lui, commencent à s'emporter et à l'insulter, le traitant de cinglé. 

Personne ne voit cette pièce, excepté Björn. 

Björn, c'est celui qui n'est pas "normal" mais c'est aussi le narrateur de cette histoire. Nous avons donc son point de vue : cette pièce existe vraiment. Selon lui, il est victime d'un complot où tout le monde est contre lui. Pour lui, tout le monde connaît l'existence de cette pièce mais fait semblant de ne pas la voir. Ce qu'il ne comprend pas, c'est pourquoi? Bienvenue dans la réalité de Björn. 

Les autres employés ont bien évidemment un tout autre point de vue : Björn est un fou, il faut qu'il aille se faire soigner. Et bien oui : parce que quand un individu n'est pas comme nous, il est forcément fou. Pourtant, Björn ne se considère pas comme cela : ce sont les autres qui sont fous! Il a seulement sa propre réalité, qu'il considère comme vraie. Imaginons que nous voyons de l'herbe, qu'on s'assoit dessus et qu'on nous dise que non, il n'y a pas d'herbe. Pourtant, nous la voyons, nous la ressentons même! Que se dirait - on? Mais c'est lui qui ne va pas bien! Pourquoi il me dit qu'il n'y a pas d'herbe alors qu'il y en a puisque je la vois! 

Tout le monde s'est ligué contre Björn parce que Björn n'est pas comme eux. Il est différent et ils ont peur. La différence fait peur. Pourtant, il ne fait de mal à personne. Bien au contraire, grâce à cette pièce, il fournit un travail excellent, bien meilleur que d'autres employés. Alors pourquoi s'acharner à lui en interdire l'accès? Pour le bien - être des autres? Et le bien - être de Björn alors? 
Finalement, cette interdiction va peu à peu le détruire puisque c'est une interdiction d'accéder à sa pensée. 

Un excellent personnage qui malgré son antipathie nous est rendu attachant de par sa différence et son courage, sa détermination à rester libre, libre de penser. 

Ma note : 4/5

Merci à Babelio et aux Editions Actes Sud. 

vendredi 20 mai 2016

Tu me manques

Dix - huit ans que Kat a perdu son père, flic abattu dans une rue de New - York. Et que son petit - ami, Jeff, l'a quittée sans explication. 

Aujourd'hui, Kat est flic à son tour. Toujours célibataire.
Sa meilleure amie l'inscrit sur un site de rencontres. Là, un visage. Le sien. Jeff, son premier amour.
Un contact. Froid. Etrange.
Le doute s'installe. Qui est - il?
Et puis, cet asolescent aux révélations troublantes.

Pour Kat, c'est le début de l'enquête la plus effroyable, la plus sordide, la plus risquée de sa carrière.

Des femmes piégées sur le net ; un tueur sadique en liberté ; des évènements sanglants déterrés du passé. 

Les mensonges qui nous lient peuvent - ils aussi nous tuer? Machiavélique, obsédant, terrifiant, le nouveau séisme du maître de vos nuits blanches.


Kat est flic et célibataire ... ce qui désespère sa meilleure amie qui décide de l'inscrire sur un site de rencontres. Kat lui en veut, elle n'a pas besoin de ça! Mais elle va quand même y jeter un oeil, par curiosité... Et puis elle tombe sur un profil, celui de Jeff, son ex - fiancé qui, bizarrement, semble l'avoir oubliée.
Peu de temps après, un adolescent vient voir Kat pour signaler la disparition inquiétante de sa mère, censée être partie en voyage avec Jeff.
Loin de là, Gérard se réveille dans l'obscurité : il est enfermé dans une boîte. Parfois, un homme vient le chercher et l'emmène dans une ferme.

Le début de ce roman compte de multiples intrigues : le cas "Jeff", qu'est - il devenu depuis toutes ces années, pourquoi a - t - il quitté Kat sans explications? ; la mort du père de Kat : son assassin présumé était - il réellement le coupable? ; la disparition de la mère de l'adolescent qui a tout l'air d'un charmant voyage en amoureux ; le kidnapping de Gérard, que va - t - il faire dans cette ferme?

C'est donc un peu le chaos dans notre tête et puis les fils se démêlent au fur et à mesure. On a certaines réponses tandis que d'autres questions s'ajoutent. On croit savoir et finalement non. C'est un enchaînement d'actions, une succession d'évènements et d'informations qui ne s'arrêtent jamais et on n'a d'ailleurs pas envie que cela s'arrête. Harlan Coben sait y faire pour nous tenir en haleine jusqu'au bout. Deux, trois touches d'humour par - ci et par - là et voilà le travail.

Kat, c'est la femme flic par excellence : déterminée, passant outre les ordres pour suivre son "instinct". C'est certes, un peu bateau, mais ça fonctionne.
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Aqua, prof de yoga et ami de Kat, personnage complètement décalé qui amène un peu d'originalité et de fantaisie. J'ai un peu moins aimé la romance entre Kat et Jeff : trop américain!

Mais dans l'ensemble, un bon Harlan Coben!

Ma note : 4/5


Lu dans le cadre du challenge Thriller et Polar



Bye Bye

Bonjour à tous et à toutes! Et Bonne année 2019! Si vous souhaitez continuer à suivre mes lectures, je vous donne le lien de mon nouveau...