vendredi 20 mai 2016

Tu me manques

Dix - huit ans que Kat a perdu son père, flic abattu dans une rue de New - York. Et que son petit - ami, Jeff, l'a quittée sans explication. 

Aujourd'hui, Kat est flic à son tour. Toujours célibataire.
Sa meilleure amie l'inscrit sur un site de rencontres. Là, un visage. Le sien. Jeff, son premier amour.
Un contact. Froid. Etrange.
Le doute s'installe. Qui est - il?
Et puis, cet asolescent aux révélations troublantes.

Pour Kat, c'est le début de l'enquête la plus effroyable, la plus sordide, la plus risquée de sa carrière.

Des femmes piégées sur le net ; un tueur sadique en liberté ; des évènements sanglants déterrés du passé. 

Les mensonges qui nous lient peuvent - ils aussi nous tuer? Machiavélique, obsédant, terrifiant, le nouveau séisme du maître de vos nuits blanches.


Kat est flic et célibataire ... ce qui désespère sa meilleure amie qui décide de l'inscrire sur un site de rencontres. Kat lui en veut, elle n'a pas besoin de ça! Mais elle va quand même y jeter un oeil, par curiosité... Et puis elle tombe sur un profil, celui de Jeff, son ex - fiancé qui, bizarrement, semble l'avoir oubliée.
Peu de temps après, un adolescent vient voir Kat pour signaler la disparition inquiétante de sa mère, censée être partie en voyage avec Jeff.
Loin de là, Gérard se réveille dans l'obscurité : il est enfermé dans une boîte. Parfois, un homme vient le chercher et l'emmène dans une ferme.

Le début de ce roman compte de multiples intrigues : le cas "Jeff", qu'est - il devenu depuis toutes ces années, pourquoi a - t - il quitté Kat sans explications? ; la mort du père de Kat : son assassin présumé était - il réellement le coupable? ; la disparition de la mère de l'adolescent qui a tout l'air d'un charmant voyage en amoureux ; le kidnapping de Gérard, que va - t - il faire dans cette ferme?

C'est donc un peu le chaos dans notre tête et puis les fils se démêlent au fur et à mesure. On a certaines réponses tandis que d'autres questions s'ajoutent. On croit savoir et finalement non. C'est un enchaînement d'actions, une succession d'évènements et d'informations qui ne s'arrêtent jamais et on n'a d'ailleurs pas envie que cela s'arrête. Harlan Coben sait y faire pour nous tenir en haleine jusqu'au bout. Deux, trois touches d'humour par - ci et par - là et voilà le travail.

Kat, c'est la femme flic par excellence : déterminée, passant outre les ordres pour suivre son "instinct". C'est certes, un peu bateau, mais ça fonctionne.
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Aqua, prof de yoga et ami de Kat, personnage complètement décalé qui amène un peu d'originalité et de fantaisie. J'ai un peu moins aimé la romance entre Kat et Jeff : trop américain!

Mais dans l'ensemble, un bon Harlan Coben!

Ma note : 4/5


Lu dans le cadre du challenge Thriller et Polar



mercredi 18 mai 2016

L'institutrice

Catégorie 3 du Défi Lecture : Un roman dont l'auteur est célèbre pour autre chose que l'écriture.

Institutrice dans un village d'Auvergne, Jeanne a vingt ans. La guerre vient de se terminer. Elle a laissé des cicatrices dans chaque existence, et l'heure des comptes n'est pas close. Jeanne aime son terroir, mais elle sait qu'elle le quittera pour découvrir le Paris mythique de la presse et des écrivains. Avec Henri, maître d'école lui aussi, ils rêvent une autre vie, taraudés par le souffle libérateur des années d'après - guerre.
Mais Jeanne rencontre Pierre, dont la femme, étrangement, s'est laissée mourir. Seul sur ses terres, mûr mais fragile, il touche la jeune institutrice et l'attire.




Jeanne est une jeune institutrice auvergnate. Bien qu'aimant beaucoup sa région et son métier, elle rêve de pouvoir aller un jour à Paris et de devenir journaliste. Seule dans son petit logement près du presbytère, elle passe d'agréables journées avec Henri qui exerce le même métier qu'elle. Ensemble, ils discutent, échangent leurs lectures et leurs rêves. Henri n'est pas insensible au charme de la jeune femme. Quant à Jeanne, elle est malgré elle fortement attirée par Pierre, le père d'un élève. Bien que la raison lui dicte de ne pas aller vers lui, elle ne peut s'en empêcher.

S'il n'y avait pas eu ce défi lecture, je pense que je n'aurai pas lu ce roman, trouvé par hasard en "free library". Néanmoins, j'étais curieuse de découvrir la Claire Chazal romancière.
C'est un roman que j'ai lu assez vite bien que l'histoire est loin de m'avoir passionnée. Pour moi ce fut une lecture platonique, il ne m'a fait ni chaud ni froid. J'étais peut - être aussi insensible que Jeanne l'est aux sentiments d'Henri. Jeanne, jeune femme des années d'après - guerre, indépendante, qui souhaite s'épanouir dans un métier qu'elle a choisit au lieu de choisir la voie du mariage et de la dépendance. Jeanne ne s'épanche pas sur les sentimentsn certains disent qu'elle est égoïste. Mais pour décider de faire quelque chose de sa vie, aussi librement que possible, il faut bien être un peu égoïste. Jeanne sait ce qu'elle veut et elle s'en donne les moyens, n'épargnant rien ni personne.

La visite de la région auvergnate m'a laissée de marbre, me perdant dans les nombreux noms inconnus de la campagne. Un roman qui me laisse quelque peu indifférente.

Ma note : 2/5

lundi 9 mai 2016

Lady Susan

Catégorie 46 du Défi Lecture 2016 : Un livre épistolaire

Une veuve spirituelle et jolie, mais sans un sou, trouve refuge chez son beau - frère, un riche banquier. Est - elle dénuée de scrupules, prête à tout pour faire un beau mariage, ou juste une coquette qui veut s'amuser? Le jeune Reginald risque de payer cher la réponse à cette question...



Lady Susan accepte l'hospitalité ( pour ne pas dire s'invite), chez son beau - frère et sa belle - soeur car elle n'est plus bien acceptée dans le lieu où elle séjournait jusqu'alors. Elle aurait préféré aller à Londres mais ses finances ne le permettant pas, elle se résout à aller chez Mr & Mrs Vernon, loin, à la campagne. Mrs Vernon n'est pas vraiment enchantée de cette visite. La réputation de Susan étant loin des meilleures, elle se montre très méfiante dès le départ et surtout lorsqu'elle voit l'intérêt que son frère, qui vient d'arriver, lui porte tout à coup malgré les recommandations et les conseils de tous.

L'histoire nous est relatée par l'intermédiaire d'échanges de lettres entre les personnages. Des lettres inquiètes de la part de Mrs Vernon adressées à sa mère, Lady De Courcy, dans lesquelles elle écrit ses doutes quant à la sincérité et les intentions de Lady Susan. Des lettres de Lady Susan à son amie à Londres, Mme Johnson dans lesquelles on découvre la vraie facette de la veuve : son mépris, son esprit de manipulation, ses mensonges pour arriver à ses fins.

C'est un roman assez court avec la belle et soutenue écriture de Jane Austen dont on ne peut se lasser (quand on aime). Cette héroïne qui est Lady Susan est différente des autres de part son but (séduire à tout prix et pourquoi pas trouver un bon parti), de par les moyens dont elle use pour y accéder, de par sa façon de penser et de vivre, de son manque de romantisme et surtout de son manque d'amour.
On aurait bien envie de la détester cette méchante dame, cette anti - héroïne. Cependant, j'admire sa détermination, sa force de persuasion, sa capacité à rester digne et forte malgré tout, son assurance dans les pires moments. Néanmoins, la fin de l'histoire est méritée.

Je ne me lasse pas des romans de Jane Austen et de ses personnages aux caractères forts, de son écriture élégante et de sa charmante Angleterre.
Vous prendrez bien une autre tasse de thé?

Ma note : 4/5


Lu également dans le cadre du challenge A year in England


mercredi 4 mai 2016

L'appel du coucou

Catégorie 42 du Défi Lecture 2016 : Un livre écrit sous un pseudonyme

Une nuit d'hiver, dans un quartier chic de Londres, le célèbre mannequin Lula Landry est trouvée morte, défenestrée. Suicide. Affaire classée. Jusqu'au jour où l'avocat John Bristow, frère de la victime, frappe à la porte du détective privé Cormoran Strike. 
Strike est au bout du rouleau : ex - lieutenant dans l'armée, il a perdu une jambe en Afghanistan, sa carrière de détective est au point au mort et sa vie privée un naufrage. Aidé par une jeune recrue intérimaire virtuose de l'Internet, Strike est chargé d'enquêter sur la mort de Lula. 
De boîtes de nuit branchées en palaces pour rock stars assaillies par les paparazzi, en passant par un centre de désintoxication et l'hôtel particulier où se meurt la mère adoptive de Lula, Strike va passer de l'autre côté du miroir glamour de la mode, dont les reflets chatoyants dissimulent un gouffre de secrets, de trahisons, de manoeuvres inspirées par la vengeance. 
Avec son intrigue haletante et sa galerie de personnages plus vrais que nature, L'appel du coucou, premier volet des aventures du détective Strike, s'inscrit dans la tradition du grand roman policier classique illustrée par Ruth Rendell ou P.D. James. Un coup de maître. 


Lula Landry, célèbre top - model britannique, est retrouvée morte en bas de chez elle. La police conclut à un suicide : elle s'est jetée de son balcon. John Bristow, son frère, ne croit pas à la thèse du suicide : pour lui, c'est un assassinat et pour le prouver, il demande l'aide de Cormoran Strike, détective privé endetté jusqu'au cou. 

Si Cormoran Strike a tout de l'apparence d'un charlatan, il n'en est pas moins un détective professionnel et sérieux. Ancien de la police militaire, il ne sort jamais sans son carnet et son stylo. L'affaire Lula Landry a tout d'un suicide et ce n'est pas ce que prétend la voisine de Lula, Tansy Bestigui, qui risque de changer quelque chose. Pourtant, au cours de toutes les investigations et vérifications du détective, des points vont sembler obscurs et les croyances de Strike vont peut - être finir par se transformer. Même si, au début, accepter cette enquête n'était qu'un moyen de régler partiellement ses dettes, elle va s'avérer plus qu'intéressante et beaucoup plus sérieuse que prévu. 
Grâce à Robin, sa secrétaire intérimaire qu'il n'a pas les moyens de payer, jeune, intelligente et perspiccace, Strike va petit à petit avancer dans l'enquête. 

Cela faisait un moment que ce roman me faisait de l'oeil, à force de le voir passer sur différents blogs et je n'ai absolument pas été déçue (comme ça peut être le cas parfois lorsque l'on entend que du bien d'un livre).
Bien sûr, on sait d'avance que ce n'est pas un suicide, sinon pourquoi en faire un roman? Bien sûr, on sait que Robin ne va pas s'en aller, sinon quel serait l'intérêt de s'appesantir sur le personnage? Bien sûr ... non je ne vais en dire davantage. 

J'aime beaucoup les personnages : je les trouve moins clichés que certains autres personnages de roman. 
L'enquête du détective suit son cours tranquillement, pas à pas. Le rythme est assez stable tout du long. Pas de précipitation, pas de conclusions hâtives, pas de suspense haletant non plus ... mais on en est pas moins tenu en alerte tout de même. Il y a une certaine constance que j'ai pas mal apprécié finalement. Doucement mais sûrement. On tourne les pages avec envie et hâte d'en savoir plus à chaque fois. 
Je ne fais pas partie des lecteurs qui analysent les indices pour trouver le coupable, j'aime me laisser porter mais ici, il m'est apparu assez évident (même si on est jamais sûrs de rien). 

Un bon roman policier anglais que je vous conseille sans hésitation! 

Ma note : 4/5
Ce roman participe à trois autres challenges :







mercredi 27 avril 2016

Le petit bonhomme de pain d'épice


C'est l'histoire d'une grand - mère qui aimait beaucoup cuisiner et qui façonna un petit bonhomme de pain d'épice avec un reste de pâte. C'est alors que celui - ci s'échappa du four et se mit à galoper à toute allure. 
Sur son chemin, il croise un chat, un cheval, un petit garçon, une petite fille, une vache ...Tous se mettent à le poursuivre pour le manger. Puis il rencontre ... un renard. 

A vrai dire, j'avais toujours entendu parler du petit bonhomme de pain d'épice sans jamais en avoir lu une histoire. En fait, c'est sensiblement la même que "Roule Galette". Le petit bonhomme, comme la galette, se fait poursuivre par plein de monde et leur répète à chacun la même phrase jusqu'à ce qu'il se fasse croquer par un plus rusé que lui. 

Il s'agit ici d'une édition de "minicontes classiques", celui - ci adapté par Anne Royer et illustré par Paku. L'histoire est courte et amusante (si on fait exception de la fin) qui ravira les enfants. Il est agréable à regarder : les illustrations sont jolies, simples mais en même temps assez détaillées ; les couleurs sont vives sans être criardes. Elles représentent tellement bien l'histoire que l'on pourrait la raconter rien qu'en regardant les images, ce qui est d'ailleurs super pour les enfants qui veulent "lire" l'histoire tout seul. 

Le livre est sans doute un peu fragile, donc à ne pas mettre entre les toutes petites mains. Je n'ai pas l'âge conseillé mais je dirai à partir de 3 ans. 

Merci à Babelio et aux Editions Lito pour ce petit album sympathique. 


lundi 11 avril 2016

Audrey Hepburn, la vie et moi

Catégorie 51 du Défi Lecture 2016 : Un livre qui contient au minimum 6 mots

A défaut de réussir dans le cinéma, où sa mère rêverait de la voir devenir star, Libby Lomax est une fan inconditionnelle des films hollywoodiens. Son icône absolue? L'exquise Audrey Hepburn.

Son film préféré, celui qui la console de tout, les jours où sa vie part à vau l'eau? Diamants sur canapé...De la pure magie ! C'est justement un de ces jours "sans" qu'une chose totalement folle se produit : Audrey Hepburn sort de l'écran ! Elle apparaît sur le canapé de Libby, parée de sa petite robe noire, de ses rangs de perles et de son fume - cigarette. Une Audrey Hepburn prête à aider Libby à relancer sa vie en lui prodiguant ses conseils d'élégance et d'art de vivre. Hallucination? Bonne fée? Ou charmante calamité?


Libby, à l'aube de la trentaine, exerce des emplois intermittents, est célibataire et est fan d'Audrey Hepburn depuis son enfance. Elle aimerait changer de métier car le métier de comédienne, rêve de sa mère, n'est pas vraiment ce qui la fait vibrer. Elle vient tout juste d'emménager dans un appartement à elle : appartement qui s'est transformé en studio avec salle de bains sur le palier où seul son canapé est capable de rentrer... Elle a un super meilleur ami mais aucun petit ami jusqu'à ce qu'elle rentre Dillon mais bon...entre elle et lui, c'est le jour et la nuit. Une vie pas franchement idéale mais heureusement, Audrey Hepburn arrive, sur son canapé et là, tout risque de changer...

Un livre chick - lit qui comporte tout ce que doit avoir un livre de ce genre : de l'humour, de la romance, un personnage principal qui rêve d'une autre vie (ou d'une vie meilleure, au moins) ...
En lisant ce livre, j'ai beaucoup pensé à Sophie Kinsella (même si je n'ai lu qu'un roman de cette dernière).

Le premier chapitre, qui présente un peu Libby et son futur ami Olly, est intéressant mais pourquoi, quelques pages plus tard, répéter des choses déjà dites dans ce chapitre. Ces quelques redondances ne m'ont pas plu dans la mesure où dans ce genre de livre, les propos sont faciles à retenir et n'ont donc pas besoin d'être réitérés.

J'ai apprécié l'humour de l'auteure même si elle en faisait un peu trop peut - être ...

L'apparition d'Audrey Hepburn est une énigme mais c'est ce que j'ai préféré dans ce roman. A vrai dire, je ne connais de cette actrice que son nom et cette histoire m'a fait m'intéresser à elle et j'ai commencé à regarder un film, comme quoi ... Un peu déçue qu'il n'y ait pas d'explication à cette apparition, mon côté rationnel sûrement.

Je suis assez surprise par la fin de l'histoire, je ne m'attendais pas à ce que Libby termine avec cet homme là (je ne dis rien d'autre pour ne pas spoiler). Ce qui veut dire que ce n'est pas aussi prévisible que ça en a l'air.

Un moment sympa, une lecture légère, divertissante qui ravira les fan de chick - lit !

Merci à Babelio et aux Editions Mosaïc pour cette Masse critique spéciale.

Ma note : 4/5


Lu dans le cadre du challenge A year in England



mercredi 6 avril 2016

Le dernier Loup - garou

Catégorie 28 du Défi Lecture 2016 : Un livre Bit Lit

Jake Marlowe est le dernier de sa race.
Pourchassé par des tueurs fanatiques qui ont juré de lui trancher la tête, protégé contre son gré par une organisation secrète désireuse de vivre au grand jour, Jake a décidé d'arrêter de fuir. La prochaine pleine lune sera sa dernière.
"Va où tu peux, meurs où tu dois".
Mais pour le vieux loup - garou suicidaire et blasé, rien ne va se dérouler comme prévu.
Par définition, l'amour est imprévisible.


Jake est un loup - garou, le dernier depuis que la Chasse, l'organisation qui s'occupe d'évincer l'espèce, a tué Wolgang. Et c'est Grainer en personne, le chef du groupe, qui veut éliminer Jake lors de la prochaine pleine lune. Averti par son ami de longue date, Harley, membre de l'organisation lui aussi, Jake n'en a que faire. Il en a assez de vivre. A quoi bon être le dernier, à quoi bon continuer? Mais Harley n'est pas de cet avis. Jake doit vivre. 

Ouf, j'ai réussi à le terminer ce livre! Ce n'est définitivement pas mon genre. Mais je pense avoir fait le mauvais choix dès le départ : j'aurai dû en prendre un plus "léger" au niveau de l'écriture (mais c'est le seul de ma liste que la médiathèque avait). Car ce roman de loup - garou est vraiment bien écrit, il faut le dire. L'écriture est très soignée à l'image de Jake, le narrateur. Mais lorsque l'on est pas habitué à lire ce genre d'histoires (ou que ce genre d'histoires ne nous inspire pas de prime abord), une écriture aussi stylisée n'est pas vraiment souhaitable pour se mettre dedans. Il m'arrivait parfois de ne rien comprendre à une phrase (voir à un paragraphe) et je ne faisais d'ailleurs aucun effort pour comprendre (la fatigue aidant).

Pourtant, l'histoire est sympa...pour une novice comme moi dans le genre Bit - Lit. Jake retrace son histoire depuis qu'il est devenu loup - garou lors d'un week - end camping avec son meilleur ami en 18.... Il exprime ses sentiments et son absence de sentiments en tant que garou, les ambivalences, paradoxes qui l'ont construit. Car être un loup - garou, c'est être un monstre (et l'accepter) durant quelques heures, prendre la vie de quelqu'un, sans remords, parce que c'est comme ça, comme ça qu'il peut survivre. Et puis redevenir humain, reprendre le cours de sa vie...longue vie. Mais depuis des années, de nombreuses années, Jake a banni un sentiment : l'amour. 

Il s'en passe des choses tout de même dans ce roman : il y a du suspense, des rebondissements et un dénouement surprenant. Il a des qualités ! 
Je pense que ce roman se lit très bien pour les amateurs du genre. En ce qui me concerne, cela a été plutôt un flop ou en tout cas, un demi - flop. Ainsi, je ne m'éterniserait pas. 

Ma note : 3/5

Lu dans le cadre du Challenge A year in England.

Bye Bye

Bonjour à tous et à toutes! Et Bonne année 2019! Si vous souhaitez continuer à suivre mes lectures, je vous donne le lien de mon nouveau...