mercredi 2 août 2017

Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une


Mon avis sur cet ouvrage est sur mon autre blog : ici 

à bientôt! 

Lu dans le cadre du Défi Lecture 2017, Catégorie 26 : Un feel good book

samedi 29 juillet 2017

Un doux pardon

Hannah Farr est une personnalité en vue de La Nouvelle-Orléans. Animatrice télé, son émission quotidienne "The Hannah Farr Show" est suivie par des milliers de fans. Côté coeur, elle file depuis deux ans le parfait amour avec Michael Payne, le maire de la ville. Mais sa vie toute tracée va être bousculée par deux petites pierres...
Ces "pierres du Pardon" connaissent un immense succès aux Etats-Unis. Le concept est simple: si vous avez quelque chose à vous faire pardonner, il suffit d'envoyer une lettre d'excuses à la personne que vous avez blessée, accompagnée de deux pierres. Si cette dernière accepte vos excuses, elle vous renvoie l'une des deux pierres.
Bien inoffensives à première vue, celles-ci vont toutefois forcer Hannah à replonger dans son passé, celui-là même qu'elle avait soigneusement mis de côté depuis de nombreuses années, et toutes les certitudes de sa vie vont être balayées comme un château de cartes...
Est-il encore temps de changer le destin?


Une jolie couverture et un joli titre, tout pour accrocher de prime abord. D'autant plus que j'avais lu "Demain est un autre jour" du même auteur et qu'il m'avait plutôt plu.

Hannah est une jeune femme qui a tout pour être heureuse : un bon job, un "fiancé" plutôt bon parti, elle est jolie et intelligente, bref, une vie presque idyllique vu comme ça...
Evidemment, rien n'est jamais aussi simple...son pseudo-fiancé ne se risque toujours pas à la demander en mariage et a l'air de s'attacher plus aux apparences qu'à elle. En plus, il a une fille d'un premier mariage qui est exécrable avec Hannah. Son travail, dans lequel elle réussit plutôt bien, est convoité par une petite pétasse qui ne recule devant rien pour arriver à ses fins. Mais si tout semble d'un coup s'écrouler dans sa vie, c'est à cause des pierres du Pardon. Ayant reçu une pierre de la part d'une ancienne camarade de classe, les souvenirs de son passé vont revenir au galop et chambouler toutes ses certitudes. 

Il s'agit d'une lecture plutôt facile et agréable mais sans surprises, une histoire cousue de fil blanc. 
Les personnages sont très ordinaires voire carrément clichés : le petit ami haut placé qui ne voit que ses intérêts et qui recule sans cesse sa demande en mariage (car en fait il n'en a jamais eu l'intention) ; la belle - fille adolescente insupportable; les parents divorcés en guerre; l'apparition du beau jeune homme dont l'héroïne va forcément tomber amoureuse parce qu'il est vraiment l'homme idéal à tous points de vue (sans blague?)...

Tout est bien fait pour rentrer dans les cases du Feel Good Book ou de la chick Lit (à quelques détails près si on se penche sur la définition mot pour mot du genre). 

Deux petites surprises tout de même en y réfléchissant bien, sans spoiler : "l'évolution" du beau-père d'Hannah et la véritable identité du jeune homme idéal...

En résumé, un livre pour aller à la plage ou pour se divertir sans avoir besoin de réfléchir. 

Lu dans le cadre du challenge 1 pavé par mois (432 pages)


et du Défi Lecture 2017, Catégorie 35, Un livre dont je me fie à la couverture.

vendredi 28 juillet 2017

Le courage d'une mère

Le combat d'une mère, qui, condamnée à une mort imminente, se démène pour trouver une famille d'accueil qui s'occupera et protégera ses quatre enfants. Son histoire et sa personnalité ont bouleversé la France entière.

Comment vivre la fin de sa vie, quand on n'a pas quarante ans et qu'on est mère de famille? L'automne dernier, Marie-Laure Picat apprend qu'elle est atteinte d'un cancer fatal à court terme. Sa première pensée est pour ses enfants: que deviendront-ils après sa mort? Résolue à assumer son rôle de mère jusqu'au bout, elle choisit elle-même une famille d'accueil. Aussitôt, elle se heurte à une fin de non-recevoir: non, ce n'est pas à elle de décider du futur de ses enfants, mais au juge, après sa mort. Non, rien ne garantit que Julie, Thibault, Matthieu et Margot seront élevés ensemble. Non, ils n'habiterons pas là où ils ont grandi.
Révoltée par l'aberration de la situation, Marie-Laure alerte les médias. Alors, un extraordinaire mouvement de solidarité se met en place, la presse relaye son message: le courage de cette jeune maman émeut le pays et elle reçoit un soutien inespéré.

C'est pour laisser une trace que Marie-Laure a voulu écrire ce témoignage, pour ses enfants d'abord et aussi pour montrer qu'il faut assouplir le carcan administratif imposé aux familles dans la détresse. Pour que son combat ne meurt pas avec elle.



On a tous entendu parler, de près ou de loin, de cette mère de famille mourante et de son histoire. Je ne vais pas faire de résumé, tout est dans cette quatrième de couverture. 
Je ne suis pas vraiment fan de ces lectures mais comme il a fait partie d'un de mes challenges cette année, je m'y suis mise. 

Marie - Laure commence son histoire par le début : son enfance. Une enfance assez difficile, une mère qui a abandonné son rôle très vite, un père qui a dû faire avec, et des enfants courageux. Marie - Laure a fait sa vie, elle a rencontré l'amour et donné naissance à quatre enfants. Et puis vint l'annonce de la maladie. 

J'ai aimé lire ces pages, Marie - Laure étant loin de s'apitoyer sur son sort, bien au contraire. Elle fait preuve de beaucoup de courage, comme le titre l'indique, et de beaucoup d'humour. Elle raconte son combat difficile, mené pour le bien de ses enfants, son combat aussi contre la maladie même si l'issue est certaine. On sent dans son récit tout son amour pour ses enfants mais aussi pour les gens en général. Il émane d'elle beaucoup de générosité et de gaieté malgré la tragédie. C'est une maman comme tout le monde, qui parfois en a marre, quatre enfants, ce n'est pas facile à gérer tous les jours! Mais comme la majorité des mamans, elle fait de son mieux, chaque jour. Elle a une grande capacité d'écoute et de compréhension envers ses enfants, qui vivent une situation hors du commun, surtout pour leur âge. Mon coeur s'est serré pour la petite Margot qui n'a probablement aucun souvenir de sa maman. 

Une histoire tragique mais racontée sans apitoiement, avec de l'humour et beaucoup de sincérité. Une femme qui aurait mérité d'être connue. Ses enfants doivent être fiers d'elle. 

Lu dans la cadre du Défi Lecture 2017 : Catégorie 24, Un coup de coeur de quelqu'un de plus jeune. 

mardi 27 juin 2017

Le cri

Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. A l'aube d'une nuit glaciale, le corps d'un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre...
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule? Pourquoi le personnel de l'hôpital semble si peu à l'aise avec l'identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans?
Pour Sarah, c'est le début d'une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l'île de l'Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d'un journaliste d'investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort...
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question!



À vrai dire, cela fait déjà un moment que je l'ai lu, quelques mois...oui j'ai pris énormément de retard sur mes chroniques. Donc, je n'irai pas jusqu'à dire que j'ai oublié mais disons que ce petit compte-rendu sera peut-être court. 

Ce thriller commence très bien puisqu'on est de suite captivés par l'histoire : un cadavre est découvert dans un hôpital psychiatrique, celui d'un patient nommé 488. En effet, personne n'a eu connaissance de son identité depuis qu'il est entré ici il y a trente-cinq ans et son surnom vient de la cicatrice qu'il possède sur le front: 488. 

Au cours de son enquête, l'inspectrice Sarah Geringën va croiser le chemin de Christopher, un journaliste français dont le frère est tragiquement mort dans un accident de voiture. Ce qu'ils vont découvrir tous les deux vont les amener à enquêter ensemble et surtout, à enquêter vite lorsque le neveu de Christopher est kidnappé par un certain Lazar.

Beaucoup d'énigmes et de suspense qui donnent à ce thriller un rythme soutenu. On a rarement le temps de se reposer, tout comme les personnages du roman. Il faut avancer vite car le temps est compté. Il faut réfléchir malgré l'invraisemblance des découvertes, une réalité presque pénible parfois. Connaître la vérité a un prix...

Le fond de l'histoire est vraiment intéressant d'autant plus que l'auteur s'est inspiré de faits historiques. Un mélange de science, de psychologie et de théologie. 

Pour autant, même si j'ai bien accroché, je suis un peu déçue par l'action finale, un peu trop "américanisée" à mon goût. Et la prévisibilité de la relation entre l'inspectrice et le journaliste m'a laissé de marbre.

Lu dans le cadre du challenge 1 pavé par mois (491 pages)



Du challenge thriller et polar



Et du Défi Lecture 2017, Catégorie 29 : un livre se déroulant dans un hôpital psychiatrique.

jeudi 22 juin 2017

Jules

A trente ans, Alice recouvre la vue. Pour Jules, son chien guide, c'est une catastrophe. Il perd son rôle, son but sur terre. En plus, on les sépare. Alors, il sa raccroche à moi. En moins de vingt-quatre heures, ce labrador en déroute me fait perdre mon emploi, mon logement, tous mes repères.
Il ne me reste plus qu'une obsession-la sienne: retrouver la jeune femme qui nous a brisé le coeur.
Entre une miraculée de la chirurgie et un vendeur de macarons, une histoire de renaissance mutuelle et de passion volcanique orchestrée, avec l'énergie du désespoir, par le plus roublard des chiens d'aveugle.



Didier Van Cauwlaert fut pendant un moment mon auteur fétiche. Je lisais tous ces livres, mon préféré étant L'éducation d'une fée. Et puis la passion s'est amenuisée, sans raison, comme ça. Et puis je me suis dit que ça faisait tellement longtemps, que tant de ses livres je n'avais pas lu, que je me suis décidée à renouer. J'ai choisi Jules.

Jules, c'est un chien. Mais pas n'importe quel chien. Un chien d'aveugle et plus précisément celui d'Alice. Alice, qui va bientôt recouvrer la vue et qui n'aura plus besoin de Jules. Juste avant son opération, elle fait la connaissance de Mr Macaron, un vendeur du stand Ladurée à la gare. Pour lui, c'est le coup de foudre. Pour elle, c'est encore un relou dragueur, même s'il paraît plus sympa que les autres.

Après son opération, Jules déprime, il ne sert plus à rien. Il est décidé qu'il irait s'occuper d'un autre aveugle. Alice va prendre le large quelque temps, pour oublier...et Jules s'échappe jusqu'au stand Ladurée.

Jules, on s'y attache beaucoup. Avec son flair, son intelligence et son amour, on ne peut rester insensible à son charme. C'est bien sûr lui le héros du roman. C'est pour lui que Mr Macaron doit retrouver Alice. C'est Jules qui mène Mr Macaron par le bout des pattes. C'est lui qu'on emmène voir un psychologue. C'est lui qu'on a envie de voir heureux.

J'aime beaucoup comment l'auteur nous emmène dans les sentiments des personnages, entre réalité et magie même si dans ce roman, cet aspect m'a moins frappé. Il met toujours aussi une touche d'humour que j'aime beaucoup.

Jules a vraiment été mon héros. Je n'ai jamais eu de chien et je n'ai jamais eu envie d'en avoir non plus. Mais j'ai toujours été sensible à leur humanité en quelque sorte.
En revanche, si j'ai aimé la rencontre entre Alice et Mr Macaron, j'ai moins apprécié la suite de leur histoire, trop brute. Elle m'a semblé peu crédible ou en tous cas, pas assez "sentimentale". Elle commençait pourtant bien.

J'ai vu qu'il y avait une suite, c'est d'ailleurs pour cela que j'ai acheté ce livre. Je suppose que je la lirai alors. Car je me demande bien ce qu'il peut arriver ensuite à ce cher Jules (et Alice? Et Mr Macaron?).

Lu dans le cadre du Défi Lecture 2017, Catégorie 34: Un livre d'un auteur que j'aime et que je n'ai pas lu.

vendredi 9 juin 2017

Preuves d'amour

Tessa Leoni, officier de police respecté, a abattu son mari en lui tirant trois balles dans le corps avec son arme de service. Elle ne supportait plus la violence de ce dernier. C'est la version qu'elle donne à l'inspectrice D.D Warren lorsque celle-ci arrive sur les lieux. Mais, si les bleus sur le visage de la jeune femme sont irréfutables, il y a une chose que D.D Warren ne s'explique pas: sa petite fille de six ans a disparu, et Tessa reste évasive à ce sujet. Que cherche-t-elle à cacher? Les deux femmes vont s'affronter pour une même cause: la survie de l'enfant.



Tout porte à croire, à première vue, que Tessa Leoni a bien tué son mari et qu'elle fait partie de ces femmes qui taisent et cachent la violence de leur mari. 
Pourtant, si l'on en croit les témoignages de quelques proches de Brian, ce n'était pas un homme violent bien au contraire, c'était un homme d'une extrême gentillesse. Qu'est-ce qui a donc poussé Tessa à mentir à son sujet et qui l'a amochée ainsi? 

Je connaissais Tessa Leoni, personnage présent dans un autre roman de Lisa Gardner : Famille parfaite , où Tessa Leoni est un détective privé. Ici, c'est le début de son histoire, Tessa est un agent de police et elle est mariée. J'étais un peu perdue au début car j'essayais de me rappeler ce que Famille parfaite racontait sur elle et ce n'était pas très clair dans ma tête. J'ai finalement arrêté de chercher pour me concentrer sur cette histoire : très intrigante et très prenante. En général, entre moi et Lisa Gardner, ça passe plutôt bien mais soit j'aime, soit je suis un peu déçue. 

Pour Preuves d'amour, je n'ai pas été déçue du tout. Des tas de questions se posent, on a beau les retourner dans tous les sens, pas le moindre indice...Les enquêteurs sont un peu plus sûrs d'eux : C'est bien Tessa qui a fait le coup, il n'y a aucun doute. Il faut maintenant établir les circonstances pour la mettre en prison et le plus urgent : retrouver Sophie, la fille de Tessa. D.D Warren, la responsable de l'enquête, m'a un peu énervée. Trop sûre d'elle, un peu arrogante même, qui a sur cette enquête, manqué un peu de flair et surtout d'objectivité : elle s'est inventée une espèce de rivalité avec Tessa qui lui a fait perdre un peu de son professionnalisme. Heureusement, son coéquipier a un peu relevé le niveau. 

Malgré le sens très "américain" qu'a pris l'histoire et une Tessa "super woman", "super maman" qui fait tout pour sauver sa fille, il faut dire que son plan était très ingénieux et intelligent. 

On se laisse embarqué volontiers dans ce policier sans faire d'histoires. Un roman policier par une femme et pour les femmes : j'aurai bien aimé un peu plus de "virilité" masculine que de "rivalité" féminine. Mais ce Lisa Gardner a fait son effet. 

Lu dans le cadre du Défi Lecture, Catégorie 69 : Un livre lu pour un autre défi

Du Challenge Thriller et Polar


Et du challenge 1 pavé par mois (528 pages)






vendredi 19 mai 2017

Le tailleur de pierre

"La dernière nasse était particulièrement lourde et il cala son pied sur le plat-bord pour la dégager sans se déséquilibrer. Lentement il la sentit céder et il espérait ne pas l'avoir esquintée. Il jeta un coup d'oeil par-dessus bord mais ce qu'il vit n'était pas le casier. C'était une main blanche qui fendit la surface agitée de l'eau et sembla montrer le ciel l'espace d'un instant.
Son premier réflexe fut de lâcher la corde et de laisser cette chose disparaître dans les profondeurs..."
Un pêcheur de Fjällbacka trouve une petite fille noyée. Bientôt, on constate que Sara, sept ans, a de l'eau douce savonneuse dans les poumons. Quelqu'un l'a donc tuée avant de la jeter à la mer. Mais qui peut vouloir du mal à une petite fille?
Alors qu'Erica vient de mettre leur bébé au monde et qu'il est bouleversé d'être papa, Patrick Hedström mène l'enquête sur cette horrible affaire. Car sous les apparences tranquilles, Fjällbacka dissimule de sordides relations humaines - querelles de voisinage, conflits familiaux, pratiques pédophiles - dont les origines peuvent remonter jusqu'aux années 1920. Quant aux coupables, ils pourraient même avoir quitté la ville depuis longtemps. Mais lui vouer une haine éternelle.


Erica vient d'accoucher. Alors qu'elle entame une sorte de Baby Blues, Patrick, son compagnon, est ravi de pouvoir échapper à ce nouveau quotidien en s'immergeant dans le travail. Malheureusement, la nouvelle enquête qui vient de s'ouvrir ne va pas lui remonter le moral, loin de là. Une petite fille est retrouvée morte, noyée. Quand il l'aperçoit, il ne peut cacher sa stupéfaction : c'est Sara, la fille de Charlotte, proche amie d'Erica. 

Le meurtre d'un enfant est souvent perçu comme un horrible crime, bien pire que celui d'un adulte. Bien sûr, qui peut bien en vouloir à un enfant? Patrick et son équipe sont un peu dans l'impasse, ils n'ont aucun indice pour démarrer l'enquête. Comme il faut bien commencer quelque part, ils se penchent sur le voisin de la famille. Depuis plusieurs années, la grand-mère de Sara est en conflit permanent avec lui. Se serait-il vengé sur la petite? 
Les soupçons se portent également  sur le fils dudit voisin, un jeune homme étrange qui présente des troubles du comportement. Est-ce une raison suffisante pour l'accuser?
Et les parents de Sara? Où était le père de la fillette au moment des faits? 

Pédophilie, adultère...chacun ses secrets. Préjugés, précipitation, intuitions, chacun sa manière de voir les choses. 

En parallèle, nous suivons l'histoire d'Agnès, une jeune fille hautaine et arrogante qui s'éprend d'un ouvrier tailleur de pierre, à ses risques et périls. Je me suis longtemps posé la question du rapport entre Agnès et la petite fille noyée car forcément il y en a un. Finalement, tout s'est éclairé bien avant la fin du roman. 

Pendant ce temps, Erica gère comme elle peut son baby blues. Quant à Anna, sa soeur, personne n'a de nouvelles : elle tente de survivre et de protéger ses enfants de son mari violent. 

Encore un bon polar de Camilla Läckberg, même si le suspens n'est pas à son comble jusqu'à la fin (les doutes sur l'identité du coupable s'intensifient de page en page).  Il s'agit du troisième roman des enquêtes de Patrick Hedström et pour l'instant je ne m'en lasse pas. 

Lu dans le cadre du Challenge Thriller et Polar


Et du Défi Lecture 2017, Catégorie 22 : Un livre dans lequel il pleut (oui, il pleut en Suède). 



Bye Bye

Bonjour à tous et à toutes! Et Bonne année 2019! Si vous souhaitez continuer à suivre mes lectures, je vous donne le lien de mon nouveau...